Vous avez déjà participé à un festival, une sortie culturelle ou un spectacle en Isère ? Ces événements n’auraient certainement pas eu lieu sans Gaëlle.

Cela fait maintenant 11 ans qu’elle tire les ficelles de la Culture en Isère. Elle relaye la politique culturelle du département. Elle accompagne les artistes et les collectivités iséroises dans l’organisation et le financement de leurs projets culturels. Immergée dans le monde associatif et culturel depuis son adolescence, Gaëlle a choisi de faire de sa passion, son métier.

Un métier qui bouge et fait bouger

Soirs et week-end, tout comme la culture, Gaëlle ne s’arrête pas aux horaires de bureau. Elle arpente souvent sur les routes du département pour assister aux évènements culturels qu’elle a suivi. Et elle adore ça ! Mais elle est tellement passionnée et investie qu’elle ne peut pas s’en empêcher.

Développer les projets dans les communes en apportant du financement

Dans les territoires les plus reculés, la culture n’est pas accessible à tous. Pour y remédier, l’arme fatale de Gaëlle c’est faire de la pédagogie auprès des collectivités et des élus. Elle intervient notamment sur le sujet le plus important. Celui qui, en général, envoi les projets culturels aux oubliettes : le financement. Tel Robin des Bois, elle prend aux riches pour donner aux pauvres. Elle a troqué son fidèle destrier contre une petite voiture citadine, avec laquelle elle sillonne les routes iséroises, une boge de pièces à la main, qu’elle troquera en échange d’un spectacle, un festival ou une sortie culturelle.

Bientôt au cœur de l’action

Après avoir accompagné un projet, elle s’efface aussi vite qu’un coup de liner. Comme Robin des Bois, Gaëlle recherche la liberté. Alors, elle pense retourner dans le monde associatif. Elle pourra laisser libre court à son imagination. Sa créativité sera moins bridée. Tout en ayant le réseau et les compétences acquises au département.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis quelques semaines, il vient à la rencontre des commerçants, des habitants et des élus. Mais qui est Jean N’ZI et surtout quel(s) métier(s) exerce-t-il au sein de la Mairie des Houches ?

C’est un parcours assez atypique qui a mené Jean N’ZI aux portes de notre cité. Jean avait un intérêt particulier pour l’histoire ce qui l’a conduit en Master d’histoire de l’Afrique puis en Master d’histoire des civilisations européennes. Ne se destinant pas au métier de professeur, Jean N’ZI a poursuivi avec un Master Métier de l’accompagnement politique. Ces ce 3e master qui a ouvert la voie de Jean N’ZI dans le secteur public et plus particulièrement dans la communication.

C’est ainsi que jean N’ZI a rejoint la Mairie des Houches au poste de Chargé de communication et d’accueil.

Une structuration nécessaire

Le service communication de La Mairie des Houches a été créé il y a tout juste 2 ans. Afin de pérenniser ce service et de structurer son fonctionnement, la mairie a recruté un Chargé de communication et d’accueil. Elle a misé sur un jeune homme pétillant et plein d’entrain pour donner un nouveau souffle à son image et un nouveau visage à son accueil.

Les 2 volets de ses missions sont complémentaires. Elles lui confèrent une vision à 360° des projets de la ville.

Au programme : Accueil du public, refonte du bulletin municipal et des newsletters trimestrielles, gestion du site internet et de la page FB ou création d’un compte Instagram.

La bonne personne au bonne endroit

Pour la première fois de sa jeune carrière, Jean N’ZI a l’impression d’être en phase avec ses convictions. Il a trouvé aux Houches la qualité de vie et la proximité avec les citoyens qu’il recherchait.

Il a plaisir à venir vous rencontrez pour mesurer l’impact de sa dernière affiche, pour connaitre votre avis sur le dernier bulletin municipal ou pour valoriser vos métiers.

Pour élargir encore sa palette, Jean N’ZI donne aussi main forte à ses collègues de l’urbanisme. Une polyvalence réjouissante pour ce nouvel agent de la Mairie à qui nous souhaitons la bienvenue aux Houches.

 

 

Stéphanie Venuat est chargée de communication au sein du syndicat qui gère la collecte et le traitement des déchets dans le sud de l’Allier. Elle explique en quoi consiste sa profession qu’elle exerce depuis 18 ans, toujours aussi passionnément.

En quoi consiste votre mission au sein du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) ?

Ma principale mission est d’informer les usagers et les élus des actions et des évolutions menées par le SICTOM en matière de gestion des déchets. Par exemple, il peut s’agir de faire connaître la mise en place d’un nouveau service de compostage. Je coordonne aussi des actions de communication telles que des ateliers pédagogiques à destination du public scolaire, des entreprises ou encore des associations. Pour cela, je travaille en étroite collaboration avec les cinq ambassadeurs de tri et plus largement avec les 122 agents du syndicat. Mon objectif principal est de sensibiliser aux gestes vertueux du tri, pour réduire les déchets. Un enjeu pour l’avenir.

Quels moyens mettez-vous en place pour parvenir à sensibiliser sur les bons gestes du tri ?

Je dispose d’une palette d’outils variés que je suis seule à maitriser au SICTOM. A des fins d’information je rédige le magazine annuel et les différentes plaquettes d’information que je mets en forme. Je gère le site internet ainsi que les réseaux sociaux. J’assure aussi les visites guidées du site afin de faire connaître l’incinérateur. Je vais sur le terrain pour prendre des photos, réaliser le covering des camions de ramassage, etc. Mon métier au sein de cette collectivité de 122 agents requiert polyvalence, patience et adaptabilité, mais c’est ce qui me plait vraiment dans ce métier. Sans compter le fait que c’est un secteur en perpétuelle évolution.

Vos projets en cours et à venir ?

Actuellement, je coordonne la réalisation de trois vidéos pour faire connaître les bons gestes du compostage, la gestion des végétaux et pour montrer comment fonctionne l’incinérateur. Côté syndicat, je fais appel aux agents et élus pour construire ensemble des films à l’image du syndicat : novateur. Un prestataire externe m’aide à la réalisation.

Dans les années à venir, le centre de traitement des déchets va évoluer. Ma mission sera donc d’expliquer en toute transparence le nouveau fonctionnement très technique du nouvel incinérateur. Un défi qu’il me tarde de mener !

Plus d’infos sur le SICTOM

 

Le stéréotype du métier de bibliothécaire qui a volé en éclat !

Vanessa Lugaz, bibliothécaire à Annecy depuis 3 ans nous dévoile les dessous d’un métier bien plus fun que ce que l’on peut s’imaginer.

Vanessa est curieuse, très curieuse même ! Alors elle a besoin de stimuler son esprit pour vaincre l’ennuie . Elle devient bibliothécaire après avoir été éducatrice spécialisée dans le service « Protection de l’enfance ».

J’ai d’abord spontanément  proposée mon aide en tant que bénévole dans une bibliothèque Municipale, c’est ici que j’ai fait mes  premiers pas dans ce métier et depuis je ne le regrette pas.

Etre bibliothécaire, me permet d’assouvir ma soif de connaissances et de diversifier mes tâches. La créativité, les animations, les lectures et mes accompagnements à travers la gestion de projets font partis intégrante de mes missions.

 

Croyez-vous qu’une bibliothécaire est coiffée d’un chignon et porte des lunettes avec un air sévère dès qu’elle entend le bruit strident du clique d’un stylo ?

Détrompez-vous ! Je ne fais pas partie de ce stéréotype bien au contraire je suis plutôt souriante et aime faire de petites blagues à mes collègues en leur laissant parfois des défis que vous ne pourriez même pas vous imaginer pour une bibliothécaire et oui !

Avez-vous une anecdote à nous raconter ?

Je vais vous dévoiler une anecdote peu commune mais qui fait partie de ma personnalité.

Un jour au cours d’une réunion sur la découverte de toutes les ressources numériques de la bibliothéque, on est tombé sur un jeu en ligne pour les enfants. qui s’appelait « Boulette ».

De là est parti un défi entre nous, de marquer le plus de points avec des boulettes de papier dans la poubelle !

 

Alors qui disait que le métier de bibliothécaire n’était pas Fun ?

 

Bilieu dans toute sa splendeur

La promotion d’une petite commune, comment ça ce passe. Claire est en chargée de communication à Bilieu, 1600 habitants,40 agents municipaux.

Claire, à quoi ressemble votre journée ?

Pas de journée type, c’est la clé pour ne pas s’ennuyer. Créer du contenu pour le site internet et l’application dédiée aux habitants, participer à une multitude de réunions, récolter les demandes toute azimutes de relais de communication, de l’association des anciens pour leur bbq annuel, à l’inauguration d’un nouveau terrain de pétanque… la liste est interminable. Quand j’arrive à m’extraire du tourbillon, je réfléchis, j’organise, je hiérarchise et je passe à l’action. Prendre des photos des évènements, faire un planning de publication, regarder un tuto pour sur la refonte d’un site internet. Bref il y a toujours quelque chose à faire et je n’ai pas le temps de regarder sa montre.

Quels sont les plus et les moins de travailler pour une petite commune ?

Bilieu c’est 1600 habitants tu connais tout le monde, tout le monde te connais. C’est un avantage puisqu’il y a un intérêt plus grand des administrés à la vie de la commune. En revanche tu es attendu au tournant si tu as oublié le temps convivial organisé de la mairie pour la seule centenaire du village. J’ai  une grande autonomie dans mon travail, en même temps l’équipe de communication c’est moi. La contrepartie c’est que tu ne confrontes pas tes idées à quelqu’un d’autre, des fois j’aimerai qu’on me dise « attends Claire là tu va pas dans la bonne direction ». Pas vraiment de stratégie d’ensemble, il faut faire avec les moyens du bord, ça me dérange pas je suis  très créative et j’aime me creuser la tête pour faire des miracles. Le lien avec les habitants est fort, le travail engagée porte ces fruits, et les habitants sont reconnaissants.

Chargée de communication, le mouton à cinq pattes ?

Je suis curieuse de nature, du coup apprivoiser une multitude de sujets ça me plaît, mais ça me demande beaucoup d’énergie. D’ailleurs  après 3 ans à ce poste, j’ai décidé  de reprendre une licence informations et communication, parce que l’adaptabilité c’est bien mais ça ne fait pas tout. Avoir des connaissances fondamentales vont me permettre de gagner en efficacité. Ce qui est certain c’est qu’il faut pas avoir peur de sortir de sa zone de confort, il y a de l’artistique, de la rédaction, de la gestion de projet et j’en passes.

Virginie, archiviste
Veille et coup de cœur

A la sortie de ses études Virginie avait en poches une formation de documentaliste.
En 2009  elle a l’occasion de faire un contrat de remplacement dans un service d’archives.
Expérience réussie !  Virginie s’y épanouit  dans un métier aux multiples facettes.

Quelles sont les tâches que vous effectuez ?
Je travaille dans un service de 12 personnes  qui gèrent principalement les archives administratives de la ville, des  communes de la Communauté d’agglomération  la Métro et celles du CCAS. Dans l’équipe il y a des archivistes et des gestionnaires de collections.
De mon coté, j’effectue plus particulièrement ce qu’on appelle de la veille documentaire.  Je cherche, je fouille, je prends des contacts et j’achète des documents d’archives qui concernent le territoire, pour enrichir nos collections.  Nous avons en effet une belle bibliothèque d’archives que nos lecteurs apprécient.
J’alimente également le site Internet du service.

Qu’est-ce qui vous plait le plus dans ce métier  ?
J’aime bien la dimension très large des archives . On a sous la main des documents et des supports très variés.
On a signé une « entente » avec la cinémathèque de Grenoble qui dépose dans un chambre froide du service des vieux films en attente de restauration. , on surveille les conditions de conservation de ces films.
Dans notre service j’ai également la chance d’être assez autonome, je ne ressens pas de poids de la hiérarchie.
Nous sommes tous des spécialistes à notre niveau et nous avons beaucoup d’échanges au sein de l’équipe.

Une archive « coup de cœur » ?
Virginie a ses yeux qui pétillent quand elle évoque un document qui l’a touché récemment : un livre sur le mariage écrit dans les années 20 écrit par le Bureau des familles de l’époque et qui donnait beaucoup de devoirs à l’épouse, peu au jeune marié. Autre époque ! Les archivistes sont bel et bien des transmetteurs de mémoire et de l’évolution de la société sur plein de sujets.
« On hérite d’une collection, on intègre des nouveaux fonds et on améliore les anciens, on est des passeurs d’histoire ».

Les projets sont nombreux dans ce service d’archives.  Un chargé de projet arrive prochainement pour  travailler sur l’archivage électronique.
Virginie est intégrée au projet. Un nouveau challenge !

Entre deux mails, Camille nous reçoit dans son grand bureau de la mairie de Lyon 6. Depuis 5 ans, elle travaille au plus près de la vie politique du 6ème arrondissement.

Assistante d’élus, qu’est-ce que c’est ?

C’est un métier assez vaste. D’un côté je m’occupe d’organiser les emplois du temps et les projets des élus. Et je ne le fais pas pour 2 ou 3 élus… mais pour 10 ! A côté de ça j’ai aussi des missions de communication. Tous les vendredis après-midis j’envoie une newsletter pour informer les habitants de l’arrondissement. C’est une partie qui est venue avec le temps. Je ne m’en occupais pas quand je suis arrivé. Il y a également le site internet que je mets à jour fréquemment avec les actualités.

Cela fait 5 ans que vous faites ce métier, comment vous êtes-vous retrouvé là ?

Je vais remonter à mes études. J’ai suivi un cursus universitaire d’assistante de gestion PME/PMI. Cela m’aide bien dans mon travail actuel. Mais avant d’arriver à Lyon 6, j’étais dans le privé. Je faisais de la gestion de projet et de l’organisation du travail. Mais je n’aime pas l’ennui. Du coup j’ai souvent changé de boîte pour retrouver du dynamisme. Puis j’ai postulé à une offre de la mairie, et j’ai intégré la structure en 2018.

Le privé ne vous manque pas trop ?

Je n’ai pas de préférence entre le privé et le public. Dans le privé, l’organisation du travail au quotidien me plaît plus que dans le public. Mais dans le secteur public j’ai trouvé une grande liberté d’action. Même s’il faut parfois passer par les élus pour valider certains projets, j’ai la confiance de ma direction. Cela me permet d’être plus sereine quand je me lance dans un projet. Le privé et le public ont des points positifs tous les deux. Je n’ai pas de préférence.

 

Montagne singulière à la frontière de la France et de la Suisse, le Salève possède son propre musée, La Maison du Salève.  Situé à Présilly, ce lieu propose une découverte de ce sommet si particulier de par son histoire, sa géologie, sa faune ou encore sa flore, et bien sûr sa position géographique. Rencontre avec Rachel Lecurleur, chargée de communication pour le musée.

 

Une chargée de communication, pourquoi faire ? 

Une chargée de com’ dans un musée, ca sert à quoi ?

A faire le faire découvrir déjà! Comme je suis en charge du site internet de la structure, je suis amenée à promouvoir les actions du musée. Cela sert également dans la gestion des relations du musée avec ses partenaires, comme le syndicat mixte du Salève. Je doit également assurer les partenariats touristiques. Je mets également en lumière, via le site, les animations du musée et les expositions temporaires. Expositions temporaires que je suis en charge de mettre en place également !  Comme La Maison du Salève est une petite structure, j’accueille également le public visiteur et j’assure de temps en temps les visites guidée. Une chargée de communication ca sert donc a pleins de choses ! Et bien sûr toujours en lien avec le grand public ! Physiquement au musée ou via le site ou les réseaux sociaux, mes missions de travail sont donc très importantes pour la visibilités du musée.

 

« La Maison du Salève : un lieu de découverte ».

Qu’est ce qui vous plait le plus dans vos missions au sein de la Maison du Salève ?

J’apprécie vraiment le volet « expositions temporaires ». C’est ce qui se rapproche le plus de ma formation initiale. La Maison du Salève accueille beaucoup de familles et d’enfants. C’est un véritable lieu de découverte pour tous. La création de contenu pour permettre aux plus jeunes de découvrir la richesse du territoire du Salève est donc très importante pour moi. Attachée depuis mon enfance à cette montagne si singulière, j’ai à cœur de partager et transmettre la richesse de ce territoire. Susciter la curiosité et l’intérêt des enfants pour la faune et la flore par le biais de la vulgarisation scientifique est quelques chose que j’aime faire. Et La Maison du Salève est le lieu idéal, pour moi, pour développer tout cela.

 

Le Salève : « une montagne modeste dotée d’une riche histoire ».

Qu’est ce qui singularise, selon vous, le Salève ?

Tout d’abord, c’est certainement une des rares montagnes des alpes sans…eau! La géologie de ce sommet fait en effet qu’aucune source d’eau n’existe sur ses pentes. Ceci en fait un lieu particulier, avec des contraintes fortes pour les habitants. Ensuite, c’est une montagne modeste, mais dotée d’une histoire forte.  Cette histoire s’est enrichie grâce à sa position géographique si particulière. Coincé entre France et Suisse, il a également longtemps été la propriété des contes de Savoie. Cette situation transfrontalière est encore très présente aujourd’hui et impacte la vie sur la montagne. Appréciée pour le panorama qu’elle offre sur Genève, son attractivité est très forte coté suisse. Le Salève a donc toujours bénéficié des échanges et des rapports entre la Suisse et la France, et s’est enrichi en piochant des deux cotés de la frontière.

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Consultez le site internet du musée : La Maison du Salève

 

Jeune homme talentueux, Thomas FARBOS, 23 ans, l’enfant du pays, revient après quelques années à la Communauté de Commune Pays du Mont-Blanc (CCPMB). Mais alors qui est il, qu’elles sont ses envies et ses ambitions ?

La collectivité territoriale, une terre inconnue ?

Thomas FARBOS rentre au sein de la CCPMB via un contrat de contractuel. Il s’agit d’une création de poste suite au départ de l’infographiste du service communication. « J’espère pouvoir renouveler un maximum mes contrats et dans le meilleur des cas obtenir un CDI » nous confie Thomas. Ce poste le rend heureux et lui plait, il a trouvé sa voix.  Il travaille avec sa responsable dans le service Communication. Ce poste est transversal « comme pour mes études c’est ce que je recherchais dans un poste ». Bien sur il avait déjà entendu parlé de la CCPMB mais c’est une grosse découverte. Il a appris les rouages internes et les différentes compétences et moyens d’action de la communauté de commune. Des choses qui ne sont pas visible lorsque l’on est qu’un simple habitant. « On a un service qui s’occupe de la rénovation énergétique, un autre du numérique dans les écoles, puis des déchèteries, c’est très varié. Quand on est pas dedans on ne peut pas savoir comment ça se passe ! »

Thomas FARBOS, retour à ses origines ?

Après avoir passé 3 années d’études à Grenoble lors d’un DUT puis d’une licence multimédia et communication, Thomas FARBOS, jeune homme du Pays du Mont Blanc, revient à ses origines. Le COVID a raison des motivations de Thomas qui ne poursuit pas ses études après l’obtention de son master. Quelques errances plus tard, Thomas a en effet travailler dans divers domaines (animalerie, banque, …), il se lance le défit de trouver un poste qui ai du sens pour lui et dans son pays près de Sallanches où il vit. Il finit alors par trouver un poste de chargé de communication multimédia  et assistant communication au sein du CCPMB en mars 2022.

Alors quelles sont tes ambitions pour après ?

Thomas avoue aimé ce poste qu’il a pris le temps de trouver et qu’il a choisi. Il n’y a jamais une journée qui ressemble à une autre, il traite plusieurs sujets et la grande majorité des projets est une nouveauté. Alors du coup, Thomas voit l’après à la CCPMB sans problème. Il souhaite voir évoluer son poste en ajoutant des formats vidéos plus dynamique à son goût. « J’ai eu la chance de pouvoir passer une commande de matériel: caméra, micro cravate, stabilisateur de smartphone,… ».