« Les finances, c’est pas sexy ». Pourtant, Maggy travaille depuis 6 ans à la direction générale de finances de Bordeaux Métropole. Son métier consiste à apporter aux agents de la Métropole des outils leur permettant de se perfectionner au logiciel Grand Angle. Une mission qu’elle souhaite rendre humaine et accessible.

Maggy, Chargée d’études fonctionnelles au service financier de Bordeaux Métropole

En grec, Maggy signifie « perle ». Maggy en est une, rare. Passionnée, engagée, au service des autres, Maggy est un maillon essentiel de la collectivité pour laquelle elle travaille.

Chargée d’études fonctionnelles, son rôle est de former et d’accompagner les agents de la Métropole bordelaise, au logiciel financier « Grand Angle ». Ce sont 2000 agents qui comptent sur elle et la sollicitent dans le perfectionnement de leurs métiers !

Elle en convient « le métier n’est pas fun ». Mais c’est sa force, Maggy puise dans ses ressources pour rendre ce métier ludique et agréable. Grâce à sa pédagogie et son charisme, Maggy explique les procédures et créée des comptes pour le logiciel Grand Angle. Jamais avare de nouvelles initiatives, Maggy a su conquérir sa hiérarchie en proposant de nouvelles idées pour dynamiser et moderniser le service des finances de la Métropole. Son souhait : ré humaniser sa pratique et rendre les finances « sexy ». Pour y arriver, Maggy a créé des avatars pour chaque agent. Elle propose de nouveaux supports de formation, des procédures métiers qui rendent le logiciel Grand Angle aussi lisible qu’un livre d’enfant.

Un véritable sens du service public

Portugaise d’origine, mère de 4 enfants et bientôt grand-mère, ce qui l’anime au fond, ce sont les relations humaines. Son but : c’est d’aider l’autre.

C’est cette vocation qui l’a poussée à l’adolescence à commencer des études de lettres. Un secteur bien éloigné de son domaine d’activité aujourd’hui. Déjà, l’enseignement, l’accompagnement et la transmission faisaient partie de son ADN. C’est également cette fibre qui l’a menée à devenir bénévole au sein de différentes associations.

Sa carrière dans la fonction publique commence en 2009 lorsqu’elle entre au Centre Communal d’Action Sociale de la ville d’Eysines. Un métier social qui la fait vibrer, pour lequel elle se sent utile.

Mais la vie n’est pas un roman à l’eau de rose et est parfois semée d’embûches. Les obstacles qui se sont mis en travers de son chemin l’ont poussée à toujours se relever et ce réinventer. C’est grâce à cela qu’elle a intégré la direction des finances de Bordeaux Métropole en 2018.

Le covid : une nouvelle manière de travailler avec les autres

Aujourd’hui, le métier de Maggy a changé. Comme dans beaucoup de secteurs d’activité, le COVID a largement impacté les modes de travail et les relations humaines. De nouveaux challenges qu’elle saisit à bras le corps pour toujours remettre l’humain au cœur de son métier.

Aujourd’hui comblée par son métier, elle envisage cependant de poursuivre son évolution et va passer le concours d’attaché de la fonction publique territoriale.

A l’approche de la trentaine, Julie Cazalis mûrit déjà sa troisième mission de communication en six ans au sein de la Métropole bordelaise. Elle investit ses sciences politiques et son habileté communicante pour adhérer à ses publics, chaque fois plus nombreux. Du grand public aux hyper-niches, itinéraire d’une enfant métropolitaine.

 

L’important ne serait pas donc pas le service, mais les publics ?

Ah, oui, le service public, sa mission, sa netteté, son efficacité. Vous nous en direz tant. Mais comment, à peine diplômée, réussir à capter l’attention des habitants sur l’intérêt -majeur- de l’aménagement métropolitain ? C’est en misant sur le cadre de vie d’aujourd’hui que Julie s’est employée à inviter bordelaises et bordelais à penser demain : paysage urbains, déplacements, ça vous parle, non ? Alors engagez-vous, qu’ils disaient ! Intéresser, impliquer cela requiert du rythme, de l’adresse, un certain tour de main. En langage savant, on parlerait de démocratie prospective, on pourrait même s’égarer mais… trop peu pour Julie et son indéracinable prise de terre. En à peine un an d’expérience, elle se recentre sur la prévention et la gestion des déchets. Parler concret, du concret, c’est tout Julie, ça.

 

Parler au plus près des gens, à leurs comportements.

 La communication c’est d’abord de la sémantique. Et cha ché manch comment ?  Entendez, le sens que l’on donne aux mots imprime du sens à l’action, aux gestes du quotidien. En français de tous les jours, on dit « poubelle », pas bac, on dit « restes » alimentaires, plutôt que bio déchets. Parfois, on éduque en avançant « centre de recyclage » au lieu de déchetterie. Et là, on imprime ! Chargée de communication, c’est lifter les informations descendantes des services et en faire du comestible pour tout le monde, pas juste du périssable. Un bain de grand public, ça fait toujours du bien au service public. A son échelle, Julie aime accompagner les gens, envelopper leurs comportements pour mieux les accompagner. On ne parle pas n’importe comment. On ne parle pas qu’aux gens, mais à leurs comportements.

 

Le travail d’adressage : un défi d’adresse.

Déjà habituée à une hauteur de vue et à voguer de thématique en discipline avec aisance (on est chargée de com ou on ne l’est pas !), Julie multiplie les fronts. Depuis deux ans, elle orchestre développement économique, transition écologique, coopération territoriales, approche numérique responsable. Ce qui change pour elle, c’est la diversité des publics-cible qui sont nichés ci-ou-là. On en parle plus au tout venant, il faut donc être précis, efficace et penser, toujours, à dialoguer avec ces nouveaux interlocuteurs aussi spécialisés ou distants soient-ils. Même pas mal ! Julie célèbre la façon dont on a informé les entreprises pour qu’elles disposent des services métropolitains en matière de la transition écologique. Elle valorise une approche enrichie de moments de consultation, avant et après : du travail de pros.

De là à trouver, convaincre et accompagner les propriétaires qui pourraient louer clé-en main à des personnes en situation de précarité… Visez un peu le défi ! Face à des cibles si diverses et délicates à dénicher une seule solution : de l’intelligence, en version adaptablilité, une bonne mesure de bienveillance (vous avez dit patience ?), et une touche de finesse et d’adresse, à la pointe de la sensibilité socioéconomique. Voilà les ingrédients d’une bonne communication à la façon de Julie. On pourrait y lire la mission du service public de demain. Comme l’avenir appartient à la jeunesse, vous pouvez compter sur Julie pour en être.

 

 

Manuel CEREZAL , 47 ans , est chargé de communication au sein de la commune de Jurançon. Responsable de la communication externe, il est le rédacteur en chef du magazine communal. qui parait tous les semestres

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Un début de carrière dans les hautes sphères vénézuéliennes

Après des études en HEC, un master en droits de l’homme , Manuel Cerezal, a débuté sa carrière professionnelle au Venezuela en tant que Coopérant au sein d’une ONG. Professeur d’économie politique, de méthodologie de projet et d’épistémologie, il a exercé  à l’université Bolivarienne. Puis il est devenu conseiller du président à la banque centrale du Venezuela. Son parcours dans les hautes sphères témoigne de son engagement et de sa capacité à naviguer dans des environnements complexes. Après 15 années passées au sein de grandes institutions, ManueL Cerazal a souhaité revenir en France, retrouver les siens, et repartir à zéro professionnellement.

L’humain d’abord

Son retour en France, marqué par un redémarrage à zéro dans sa carrière professionnelle, démontre sa détermination à poursuivre sa mission d’aider les autres, et à placer l’humain au cœur de ses actions. Rédacteur en chef d’un magazine communal semestriel, Manuel met en lumière les histoires inspirantes de sa commune, sensibilise sur les enjeux locaux et promeut le vivre-ensemble.

« Aimer agir, agir en aimant »

Son mantra, « aimer agir, agir en aimant », révèle sa conviction que l’amour et l’empathie sont des moteurs puissants pour le changement positif. En choisissant de former un stagiaire pour l’aider dans ses responsabilités et pour le guider vers l’excellence, Manuel démontre sa volonté de partager son expertise et de cultiver une relève talentueuse. En libérant du temps pour se concentrer sur la stratégie éditoriale, il montre également sa capacité à déléguer et à travailler de manière collaborative pour atteindre ses objectifs.

Cette approche témoigne de sa vision à long terme, où l’investissement dans les autres et la transmission des connaissances sont des piliers essentiels pour assurer la pérennité de son travail et pour faire progresser sa mission de service public. Manuel ne se contente pas seulement d’accomplir ses propres tâches, mais il aspire également à inspirer et à former la prochaine génération de leaders engagés, prêts à suivre ses pas dans la poursuite d’un avenir meilleur pour tous

Avec sa carrure de maître-nageur, Anthony a intégré le pôle territorial ouest de Bordeaux Métropole, un master en communication et territoire. En tant que chargé de communication depuis 2021, il incarne à lui seul l’essence même du lien social et professionnel, façonnant des ponts entre les 600 agents du PT Ouest via différentes méthodes de communications, de l’intranet TATOU à l’organisation d’évènements. Au fil des mots, plongeons dans le portrait détaillé d’un communicant hors pair et d’un bâtisseur de cohésion.

Le Parcours d’un Communicant Engagé

Anthony, ardent défenseur de la communication interne, a tracé son chemin dans l’univers de la communication avec détermination et passion. Son parcours l’a conduit à embrasser le rôle de chargé de communication au sein du pôle territorial ouest de Bordeaux Métropole, un poste qui résonne avec sa vision profonde de la connectivité humaine.

Doté d’un master 2 en communication et territoires, Anthony a rapidement mis ses compétences au service de la collectivité, forgeant son expertise dans la création de liens durables et la promotion d’initiatives porteuses de sens. Son engagement envers la métropole bordelaise est ancré dans sa volonté de contribuer activement au développement et au bien-être de la communauté.

Les Missions Cruciales d’Anthony

Au cœur de la mission d’Anthony, réside la création de liens forts entre les agents de la métropole, une tâche qu’il aborde avec passion et détermination. Par le biais d’événements soigneusement orchestrés, Anthony tisse une toile de relations qui renforce le sentiment d’appartenance à une même entité. Qu’il s’agisse de créations d’évènements, de rédaction d’articles ou de création de flyer, chaque initiative est pensée pour favoriser l’échange et la collaboration.

En parallèle, Anthony répond aux demandes spécifiques des différentes directions du pôle territorial ouest. Lorsque la Direction des Ressources Humaines fait face à des défis de recrutement dans une commune, Anthony se mue en créateur de solutions, concevant des campagnes de valorisation de métiers ou des affichages percutants pour attirer de nouveaux talents. Sa réactivité et sa capacité à comprendre les enjeux spécifiques de chaque situation font de lui un partenaire précieux pour l’ensemble des services de la métropole.

Mais le rôle d’Anthony ne se limite pas au PT Ouest. Sollicité par la direction pour des missions transversales, il collabore étroitement avec les chargés de communication de toutes les communes pour donner vie à des projets d’envergure. Ainsi, la mise en place d’un événement professionnel d’envergure tel que la rencontre du 7 octobre 2024 témoigne de sa capacité à fédérer les énergies, à promouvoir l’innovation et à relever les défis collectifs.

L’Artisan de la Cohésion et de l’Innovation

Au-delà de ses missions officielles, Anthony incarne les valeurs de solidarité, d’écoute et de créativité qui font la force de Bordeaux Métropole. Toujours à l’écoute des besoins de ses collègues, il n’hésite pas à partager ses connaissances et son expertise pour nourrir la croissance professionnelle de chacun. Sa présence bienveillante et son enthousiasme contagieux créent un environnement de travail propice à l’épanouissement et à la collaboration.

Doté d’un esprit vif et d’une imagination débordante, Anthony est constamment en quête de nouvelles idées et de nouvelles approches pour enrichir la communication de la métropole. Sa capacité à penser en dehors des sentiers battus se traduit par des campagnes originales, des événements innovants et des outils de communication percutants qui captivent l’attention et inspirent l’action.

Conclusion: Au-delà des Mots, la Force d’une Connexion Humaine

En somme, Anthony incarne l’essence même de la communication au sein du pôle territorial ouest de Bordeaux Métropole. Par son engagement indéfectible, sa créativité débordante et son sens aigu du relationnel, il transcende les simples notions de communication pour tisser les fils d’une communauté unie et résolument tournée vers l’avenir. Dans un monde en perpétuelle mutation, Anthony demeure un phare de stabilité, guidant ses collègues vers de nouveaux horizons et donnant vie à la vision collective d’une métropole dynamique et solidaire.

Chargée de communication de la ville d’Aytré, ville de 11 000 habitants située en Charente-Maritime, Manon Petit voue un amour inconditionnel au poste qu’elle occupe. Électron libre passionné de création graphique, ses sources de satisfaction personnelle alimentent sa créativité au travail. Cheveux blonds, tatouages et idées claires, Manon s’apprête à réaliser un tour d’Europe en famille et en bus tout en poursuivant son investissement pour Aytré, sa ville de cœur.

Chargée de communication dans un bus à travers l'Europe

« Mon poste sinon rien ! »

Après une première partie de carrière consacrée à la vente et au suivi de projets dans le domaine de l’impression, Manon emprunte un chemin de traverse. Guidée par son amour pour la création graphique et son goût pour le web, elle devient chargée de communication pour la Ville d’Aytré. La polyvalence de ses missions ainsi que la confiance que lui accorde Tony Loisel, Maire d’Aytré, représentent pour elle une source de motivation et de liberté qu’elle ne changerait pour rien au monde.

Un poste aux missions diverses guidées par ses passions.

Manon assume à elle seule une pluralité de missions au sein de la Commune d’Aytré. Mises à jour sur le site web et les réseaux sociaux, photographies pour les campagnes d’affichage de la Ville, organisation et planification culturelle, réalisation du magazine municipal au sein duquel elle rédige la majorité des contenus, autant de missions et de passions pour lesquelles elle vibre. En parallèle, un projet de voyage personnel l’anime tout particulièrement, voyage au cours duquel elle poursuivrait son engagement pour son poste et sa commune, si chers à son cœur.

Se jeter sur les routes européennes, plume à la main.

Son carnet sous le bras, Manon griffonne ses idées et ses textes depuis plus de quinze ans. Naît un projet de voyage en Europe. Puis vient l’amour, les enfants… et son projet au placard. Manon n’a pourtant pas dit son dernier mot. Elle transmet le virus du voyage à son compagnon et l’idée se répand à la Mairie d’Aytré. Elle propose même d’assurer la rédaction du magazine municipal à bord d’un bus sur les routes européennes, une idée qui séduit Tony Loisel. Une stratégie payante pour réintégrer son poste à son retour de voyage ? Quoi qu’il en soit, Manon écrit son histoire et celle de la ville d’Aytré !

Au cœur de la Charente, Aurélie, fraichement quarantenaire, est en charge de la communication de la Ville de Saint Yrieix sur Charente. À la fois proche des habitants, tout est restant dans l’ombre des fonctions administrative, son métier est ambivalent. Zoom sur une profession entre ombre et lumière.

Aurélie intègre la Ville de Saint Yrieix à l’accueil de sa mairie, au plus proche des habitants. Écoute, empathie, réactivité, sens du service : durant 9 ans, elle s’imprègne de leurs attentes : Grâce à son ambition et à une promotion interne, elle rejoint en 2017 la direction de la communication.

 La difficulté à trouver sa place entre élus et direction

Aurélie réalise chaque jour de la création de contenus sur son site web, saintyrieixsurcharente.fr/, aux relais sur les réseaux sociaux et à leur modération. Sa petite commune, de 7 000 habitants, rend les agents plus polyvalents. Ainsi, Aurélie réalise et de la coordonne le bulletin municipal trimestriel : organisation du comité de rédaction, écriture ou encore réalisation d’épreuves de relectures et de corrections LISTER.

Son rôle de confidente la place parfois dans une posture inconfortable ; elle doit à la fois répondre aux attentes des adjoints, respecter les exigences de sa direction, sans perdre de vue l’intérêt de ses lecteurs : les administrés. Aurélie est Au cœur de cette bataille d’influence. Les élus aimeraient qu’elle valorise chacun de leur geste. Les lecteurs veulent connaitre l’actualité de leur ville, indépendamment de la politique.

Technicienne de bureau et de terrain

De formation initiale en BTS communication, elle confesse ne pas maitriser les logiciels de Publication assistée par ordinateur (PAO). Déterminée, elle s’autoforme à l’aide d’outils graphiques en ligne en quelques semaines et diffuse depuis des campagnes explicites et harmonieuses. En parallèle de ses missions rédactionnelles, Aurélie prend également en charge l’organisation événementielle : fête des associations, accueil des nouveaux arrivants, etc. Les administrés se plaignent de ne plus pouvoir parler à un humain ; Aurélie a à cœur de renforcer le lien privilégié qu’elle noue avec ses habitants en participant aux manifestations, soirs, weekends et jours fériés inclus

À moins de 10 000 habitants, forcément couteau-suisse

Qui dit petite commune dit petite équipe. Aurélie remplace ainsi la secrétaire du Maire durant ses absences afin d’assurer la continuité des missions administratives. Courrier, saisie ou encore gestion de l’agenda du Maire, elle ne rechigne devant aucune tâche ingrate, pour la continuité de fonctionnement de sa collectivité. Elle trouve du sens à travailler pour l’habitant et à exprimer sa créativité dans ses campagnes.  Aurélie s’engage aujourd’hui depuis 16 ans pour ses habitants et souhaite que son expertise soit enfin reconnue, statutairement et financièrement. C’est pourquoi elle prépare actuellement la concours de Rédacteur Territorial.

 

Un métier multi taches, directrice de la communicationMarie, 29 ans, assure la communication et l’évènementiel de la commune de Castelnau du Médoc depuis 7 ans.

Communication print et numérique, cabinet du maire, évènementiel, la diversité de ses missions la passionne.

Le cœur de son métier, la communication

Elle dispose de nombreux outils pour informer les Castelnaudais au quotidien : magazine municipal, site internet, réseaux sociaux, newsletter, affiches, flyers.

Autre corde à son arc, l’évènementiel

Les nouveaux habitants ont été récemment conviés par les élus. ce temps d’accueil et d’échange était organisé par Marie en collaboration avec les services supports de la ville.

Elle coordonne toutes les manifestations de la commune. De la gestion du calendrier à la détermination des besoins matériels et humains. Elle est le chef d’orchestre de l’évènementiel sur la commune.

 

Comme chaque année, le magazine L’Etudiant propose son classement des meilleures villes étudiantes.

Pour la nouvelle édition 2023-2024 de ce palmarès, la rédaction a comparé les 46 villes françaises qui accueillent plus de 8 000 étudiants. Cette année, Chambéry cartonne au classement des villes de tailles moyennes (de 8 000 à 20 000 étudiants).

de nouveau en quittant sa seconde place acquise depuis plusieurs année pour se retrouver première du classement !

palmares meilleures villes étudiantsLes étudiants recommandent Chambéry !

Chambéry séduit par sa proximité avec l’Italie et la Suisse. Les étudiants louent le cadre idyllique entre les montagnes et les lacs et le fait de pouvoir tout faire à pied.

Cout de la vie, dynamisme, offre culturelle –> Recommandation à 94,7%

Des dispositifs attractifs

La Ville offre à tous les nouveaux étudiants arrivants une Welcome Box. (rajouter lien) Elle permet de participer à des concerts, retirer son abonnement à la médiathèque et au musée des Beaux Arts, des entrées dans des espaces de loisirs de la ville et pleins d’autres offres pour les étudiants. –> plus de verbe d’action

C’est d’ailleurs à l’occasion de l’évènement de bienvenue qu’elle est distribuée.

 

 

Au classement général des villes étudiantes, Chambéry conserve également, pour la troisième année consécutive, la 21ème place : récompense de sa forte attractivité auprès des jeunes.

Soucieuse d’améliorer le dialogue avec les jeunes et de valoriser leurs initiatives, l’équipe municipale souhaite développer les rencontres avec la jeunesse. Le service jeunesse, cheville ouvrière de ces rencontres, en lien avec les partenaires du territoire, développe les espaces de dialogue avec les jeunes et les soutient dans la réalisation de leurs projets à dimension collective.

🙋‍♂️Des rencontres jeunesse : pour quoi faire ❓🙋‍♀️

Les rencontres jeunesse s’adressent aux jeunes Chambériens de 11 à 25 ans, qui souhaitent s’impliquer dans la vie locale, au travers de projets pour leur quartier ou pour la ville.
Cet espace d’échange et d’écoute permanent entre jeunes, élu·es et professionnel·les jeunesse poursuit plusieurs objectifs. Il vise d’abord, à valoriser la jeunesse Chambérienne dans sa diversité et à faire découvrir l’offre jeunesse du territoire. A moyen/long terme, l’objectif est aussi de structurer la politique jeunesse de la Ville avec les partenaires et de co-construire avec les jeunes une instance d’implication qui leur sera dédiée.

Un support pour accompagner les jeunes à concrétiser leurs projets

Mais l’objectif premier des rencontres jeunesse est bien d’offrir aux jeunes la possibilité d’exprimer leurs attentes et leurs projets. Monter un évènement, proposer un nouvel aménagement dans leur quartier, disposer d’un lieu de rencontre … Le service jeunesse et les élus s’engagent, avec les structures jeunesse partenaires, à rencontrer ces jeunes investis pour affiner leurs projets et les accompagner dans leur réalisation. La Ville pourra leur apporter une aide technique, des financements, ou encore une mise en lien avec les bons acteurs.

👉 1ère édition des rencontres jeunesse : avril 2023 !

La première édition des rencontres jeunesse s’est tenue au mois d’avril 2023 avec un programme co-construit par des jeunes impliqués, les structures jeunesses partenaires de la Ville et le service jeunesse.